• Même le silence a une fin

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    «Enchaînée par le cou à un arbre, privée de toute liberté, celle de bouger, de s’asseoir, de se lever ; celle de parler ou de se taire ; celle de boire ou de manger ; et même la plus élémentaire, celle d’assouvir les besoins de son corps…

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  • L’amie prodigieuse, tome 1 : Enfance, adolescence

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    «Je ne suis pas nostalgique de notre enfance : elle était pleine de violence. C’était la vie, un point c’est tout : et nous grandissions avec l’obligation de la rendre difficile aux autres avant que les autres ne nous la rendent difficile.» Elena et Lila vivent dans un quartier pauvre de Naples à la fin des années cinquante. Bien qu’elles soient douées pour les études, ce n’est pas la voie qui leur est promise. Lila abandonne l’école pour travailler dans l’échoppe de cordonnier de son père. Elena, soutenue par son institutrice, ira au collège puis au lycée. Les chemins des deux amies se croisent et s’éloignent, avec pour toile de fond une Naples sombre, en ébullition. Formidable voyage dans l’Italie du boom économique, L’amie prodigieuse est le portrait de deux héroïnes inoubliables qu’Elena Ferrante traque avec passion et tendresse.

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  • L’amie prodigieuse, tome 2 : Le nouveau nom

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    «Si rien ne pouvait nous sauver, ni l’argent, ni le corps d’un homme, ni même les études, autant tout détruire immédiatement.» Le soir de son mariage, Lila, seize ans, comprend que son mari Stefano l’a trahie en s’associant aux frères Solara, les camorristes qu’elle déteste. De son côté, Elena, la narratrice, poursuit ses études au lycée. Quand l’été arrive, les deux amies partent pour Ischia. L’air de la mer doit aider Lila à prendre des forces afin de donner un fils à Stefano. L’amie prodigieuse, Le nouveau nom et Celle qui fuit et celle qui reste sont les trois premiers tomes de la saga d’Elena Ferrante.

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  • Le confident

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    Camille vient de perdre sa mère. Parmi les lettres de condoléances, elle découvre un étrange courrier, non signé. Elle croit d’abord à une erreur mais les lettres continuent d’arriver, tissant le roman de deux amours impossibles, de quatre destins brisés. Peu à peu, Camille comprend qu’elle n’est pas étrangère au terrible secret que cette correspondance renferme. Dans ce premier roman sur fond de Seconde Guerre mondiale, Hélène Grémillon mêle de main de maître récit historique et suspens psychologique. Le confident a obtenu cinq prix littéraires et été traduit en dix-huit langues.

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  • L’herbe des nuits

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    «  »Qu’est-ce que tu dirais si j’avais tué quelqu’un ? » J’ai cru qu’elle plaisantait ou qu’elle m’avait posé cette question à cause des romans policiers qu’elle avait l’habitude de lire. C’était d’ailleurs sa seule lecture. Peut-être que dans l’un de ces romans une femme posait la même question à son fiancé. « Ce que je dirais ? Rien » ».

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  • Berezina

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    Octobre 1812, Napoléon entame la retraite de Russie. 4000 kilomètres d’une course mortelle contre la faim et la neige, où les hommes, harcelés par les cosaques, devenaient fous. Deux cents ans plus tard Sylvain Tesson décide de mettre ses pas dans ceux de l’empereur. Pour ça il lui faut : de la neige, du froid, le géographe Cédric Gras, le photogra-phe Thomas Goisque, deux amis russes, trois side-cars soviétiques et beaucoup, beaucoup d’humour. Un récit très drôle, où l’on galope à 80 km/h (l’Oural ne va pas plus vite). Sylvain Tesson partage sa vie entre expéditions au long cours, écriture et réalisation de documentaires d’aventure. Ses nombreux périples lui ont inspiré une dizaine de livres, parmi lesquels L’Axe du loup, 2005 ; Petit traité sur l’immensité du Monde, 2006 ; Une vie à coucher dehors (Prix Goncourt des nouvelles 2009) ; Dans les forêts de Sibérie (Prix Médicis essai 2011). Ces livres sont édités également aux éditions de la Loupe.

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  • Le peintre d’éventail

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    C’est au fin fond de la contrée d’Atôra, au nord-est de l’île de Honshu, que Matabei se retire pour échapper à la fureur du monde. Dans cet endroit perdu entre montagnes et Pacifique se cache la paisible pension de Dame Hison dont Matabei apprend à connaître les habitués, tous personnages singuliers et fantasques. Attenant à l’auberge se déploie un jardin hors du temps. Insensiblement, Matabei s’attache au vieux jardinier et découvre en lui un extraordinaire peintre d’éventail. Il devient le disciple dévoué de maître Osaki. Fabuleux labyrinthe aux perspectives trompeuses, le jardin de maître Osaki est aussi le cadre de déchirements et de passions, bien loin de la voie du Zen, en attendant d’autres bouleversements. Avec Le peintre d’éventail, Hubert Haddad nous offre un roman d’initiation inoubliable, époustouflant de maîtrise et de grâce.

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  • L’identité

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    Car tel est bien l’amour de Jean-Marc et Chantal : un espace aménagé en marge du monde, à l’écart de la vie, contre la vie, en fait, et donc  » une hérésie, une transgression des lois non écrites de la communauté humaine « .

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  • Moment d’un couple

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    Juliette, ingénieur dans l’informatique, et Olivier, journaliste, ont deux enfants et une vie de couple moderne.

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