• Le palanquin des larmes

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     » J’étais jolie :ce n’est pas un mérite, ce fut une malédiction. « Choisie pour son exceptionnelle beauté, Chow Ching Lie a treize ans lorsqu’elle est contrainte d’épouser l’héritier

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  • Même le silence a une fin

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    «Enchaînée par le cou à un arbre, privée de toute liberté, celle de bouger, de s’asseoir, de se lever ; celle de parler ou de se taire ; celle de boire ou de manger ; et même la plus élémentaire, celle d’assouvir les besoins de son corps…

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  • Je veux vivre

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    Tessa vient d’avoir 16 ans et se sait condamnée. Dans quelques semaines, elle mourra d’une leucémie. Partagée entre la révolte et l’angoisse, Tessa veut tout connaître de la vie avant de mourir, les interdits, la célébrité, l’amour…
    Aidée de sa meilleure amie, entourée par ses parents, Tessa se lance alors dans une course contre la montre, contre la mort, pour vivre !

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  • Une journée particulière

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    Le 29 février ne revient que tous les quatre ans, il s’agit du jour de la naissance de Thaïs – la petite fille d’Anne-Dauphine Julliand -, atteinte d’une maladie génétique orpheline. Thaïs a vécu trois ans trois quarts : une courte mais belle vie. Lorsque le 29 février réapparaît sur le calendrier, Anne-Dauphine s’offre une parenthèse, sans travail ni obligations, pour vivre pleinement cette journée particulière.

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  • Stupeur et tremblements

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    En 1990, au Japon, Amélie est engagée comme interprète chez Yumimoto, une entreprise d’import-export. Elle pense que son rêve de vivre comme une Japonaise va pouvoir se réaliser. Mais, très vite, elle sent bien que la réalité du système Yumimoto obéit à d’autres lois que celles de son désir.

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  • L’imposture des mots

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    L’aventure personnelle de Yasmina Khadra vaut tous les romans. Dans les années 1990, son nom éclate dans l’univers du polar. Qui se cache derrière ce pseudonyme, qui signe ces intrigues violentes dans le contexte de la guerre civile algérienne ? Lorsqu’en 2001 il révèle enfin sa véritable identité, Mohammed Moulessehoul, officier supérieur dans l’armée de son pays, il passe du rang d’auteur culte à celui de suspect.
    L’Imposture des mots est le récit lucide et passionné de l’affrontement entre une conscience et une intelligentsia jamais en retard d’une imposture.

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  • L’écrivain

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    En 1964, un enfant algérien entre dans une école militaire oranaise. Son père a pour lui les plus hautes ambitions. Excellente recrue, on se méfie cependant d’un cadet passionné par le théâtre et la littérature. Comment le métier des armes peut-il s’accorder avec celui, si étrange, d’écrivain ?

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  • Pétronille

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    « Au premier regard je la trouvai si jeune que je la pris pour un garçon de quinze ans. »

    Comment l’écrivain à succès rencontre une fan, devenue romancière à son tour, bientôt complice pour partager son grand plaisir revendiqué : le champagne. Une histoire d’amitié enivrante.

     

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  • Le jardin de Badalpour

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    A quinze ans, l’héroïne de ce livre comprend qu’elle a tout perdu : ses parents, son nom, son pays et jusqu’à son âge. De Selma, sa mère, la descendante des sultans, morte à Paris dans la misère, elle ne sait presque rien. Quant à son père, si sa famille adoptive lui dit qu’il était le radjah de Badalpour, d’autres murmurent qu’il s’agissait d’un Américain

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  • La nuit de feu

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    « Je suis né deux fois, une fois à Lyon en 1960, une fois dans le Sahara en 1989. »
    Une nuit peut changer une vie.
    À vingt-huit ans, Éric-Emmanuel Schmitt entreprend une randonnée à pied dans le Sahara en 1989. Parti athée, il en reviendra croyant, dix jours plus tard.

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  • J’ai quinze ans et je ne veux pas mourir,

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    La Seconde Guerre mondiale ravage le continent européen. En 1944-1945, les Allemands occupent Budapest et veulent gagner leur ultime bataille contre les Russes dans la ville martyre bombardée jour et nuit. Il faut survivre sous les décombres.Christine Arnothy se réfugie avec ses parents dans la cave d?un immeuble au bord du Danube. Écrivant à la lumière d’une bougie, elle raconte les événements quotidiens, évoque la faim et la soif.?est révélée face à la mort. Ce journal de guerre et sa suite, Il n?est pas si facile de vivre, sont lus dans le monde entier.

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  • Origines

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    Il était une fois deux frères, Gebrayel et Botros, nés dans ce Liban de la fin du XIXe siècle encore partie intégrante de l’Empire ottoman. Le premier rêve de conquérir le monde et quitte l’Orient natal pour faire souche à Cuba. Le second, homme de pensée et de livres, reste au pays.

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