• Mémoire de mes putains tristes

    0 sur 5

     » L’année de mes quatre-vingt-dix ans, j’ai voulu m’offrir une folle nuit d’amour avec une adolescente vierge. je me suis souvenu de Rosa Cabarcas, la patronne d’une maison close qui avait l’habitude de prévenir ses bons clients lorsqu’elle avait une nouveauté disponible.

    / SEM
  • Lait noir

    0 sur 5

    Comment concilier l’écriture et la maternité ? Dans ce roman polyphonique, Elif Shafak fait parler les voix intérieures qui depuis toujours l’ont questionnée et raconte sa propre expérience.

    / SEM
  • Biographie de la faim

    0 sur 5

    L’auteur de Stupeur et tremblements (Grand Prix du roman de l’Académie française 1999) et de Métaphysique des tubes poursuit ici l’exploration d’une veine autobiographique qui nous ramène au Japon de sa petite enfance, avant de faire revivre ses souvenirs de Pékin, New York, le Bangladesh et autres lieux où la conduit la carrière d’un père diplomate.

    / SEM
  • L’écrivain de la famille

    0 sur 5

    À sept ans, Édouard écrit son premier poème, quatre rimes pauvres qui vont le porter aux nues et faire de lui l’écrivain de la famillle. Mais le destin que les autres vous choisissent n’est jamais tout à fait le bon …

    / SEM
  • Un Parfum d’herbe coupée

    0 sur 5

    « Le jour où mon père a débarqué avec son sourire conquérant et la GTS, j’ai fait la gueule.

    / SEM
  • L’amant de la chine du nord

    0 sur 5

    « J’ai appris qu’il était mort depuis des années. C’était en mai 90 (…). Je n’avais jamais pensé à sa mort. On m’a dit aussi qu’il était enterré à Sadec, que la maison bleue était toujours là, habitée par sa famille et des enfants.

    / SEM
  • Lambeaux

    0 sur 5

    Dans cet ouvrage, l’auteur a voulu célébrer ses deux mères : l’esseulée et la vaillante, l’étouffée et la valeureuse, la jetée-dans-la-fosse et la toute-donnée.La première, celle qui lui a donné le jour, une paysanne, à la suite d’un amour malheureux, d’un mariage qui l’a déçue, puis quatre maternités rapprochées, a sombré dans une profonde dépression.

    / SEM
  • tropique du capricorne

    0 sur 5

    Empoigner la vie et la savourer à loisir. Henry Miller ne réalisera vraiment son rêve qu’après avoir rencontré la jeune femme à qui est dédié ce livre, Mona (héroïne de Plexus et de Nexus), et après avoir compris que, plus encore que mordre la vie à belles dents, il désire exprimer ce qu’il pense et ressent.

    / SEM
  • Rien ne s’oppose à la nuit

    0 sur 5

    Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l’écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd’hui je sais aussi qu’elle illustre, comme tant d’autres familles, le pouvoir de destruction du verbe, et celui du silence. D. de V.

    / SEM
  • Mon bel oranger

    0 sur 5

    Quand il sera grand, Zézé veut être « poète avec un noeud papillon… » Pour l’instant, c’est un petit brésilien de cinq ans qui découvre la vie. À la maison, c’est un vrai diablotin qui fait bêtises sur bêtises et reçoit de terribles fessées. À l’école au contraire, José est un « ange » au coeur d’or et à l’imagination débordante qui fait le bonheur de sa maîtresse tant il est doué et intelligent.

    / SEM