• Frappe-toi le coeur

    0 sur 5

    « Frappe-toi le coeur, c’est là  qu’est le gênie », Alfred de Musset.

    / SEM
  • Même le silence a une fin

    0 sur 5

    «Enchaînée par le cou à un arbre, privée de toute liberté, celle de bouger, de s’asseoir, de se lever ; celle de parler ou de se taire ; celle de boire ou de manger ; et même la plus élémentaire, celle d’assouvir les besoins de son corps…

    / SEM
  • L’Anglais

    0 sur 5

    Répondant à l’invitation du Dr Philip T Spencer, D-B accepte du bout des lèvres de se rendre à Belfast, en Irlande du Nord, où ce professeur du Trinity College Dublin organise un colloque. Elle s’attend à être accueillie par un vieil Irlandais barbu et bedonnant au visage raviné par les pintes de Guinness. Surprise : le Dr Spencer est un Anglais francophile et 100% british, beau « comme un acteur de cinéma », incroyablement séduisant. Et libre ! Tour à tour drôle, émouvant, lyrique, L’Anglais retrace la chronique de ce grand amour tardif. À plus de cinquante ans, cette femme furieusement autonome, mais qui a vécu plusieurs histoires d’amour compliquées et déchirantes, rencontre, au moment où elle ne s’y attend plus, celui dont elle sait d’instinct qu’il sera le dernier amour de sa vie…

    / SEM
  • L’Enfant des manèges : Et autres nouvelles

    0 sur 5

    Dans un square parisien, Maxime Balin fait tourner son manège et ses beaux chevaux de bois. Cette magnifique machine fascine le jeune Omar-Paul, qui a quitté son pays ravagé par la guerre. Entre le gamin malicieux et le forain qui a perdu ses rêves de jeunesse, une amitié se noue, pleine de surprises et d'émotions… Andrée Chedid évoque à travers les cinq nouvelles de ce recueil ses racines libanaises et son enfance égyptienne ; elle nous raconte des histoires chaleureuses, où la tolérance a toujours le dernier mot. Le dossier propose des exercices pour comprendre la structure narrative des différentes nouvelles du recueil. Des extraits des Saisons de passage, récit autobiographique d'Andrée Chedid, permettent de réfléchir sur les liens entre fiction et autobiographie.

    / SEM
  • Un sac de billes

    0 sur 5

    Traduit en 18 langues, Un sac de billes, livre d’une exceptionnelle qualité, est un des plus grands succès de librairie de ces dernières années. Un très beau livre, émouvant et fort…Alphonse Boudard. Ce livre qui est celui de la peur, de l’angoisse, de la souffrance aurait pu être aussi le livre de la haine, mais il est, en fin de compte, un cri d’espoir et d’amour.Bernard Clavel. Parmi les témoignages sans nombre consacrés aux temps maudits, celui-là est unique, par la nature de l’expérience, l’émotion, la gaieté, la douleur enfantine. Et conté de telle manière que l’aventure saisit, entraîne, porte le lecteur de page en page et jusqu’à la dernière ligne.Joseph Kessel. Une spontanéité, un humour, une tendresse, une émotion discrète qui en font un livre pas comme les autres.La Croix.

    / SEM
  • M pour Mabel

    0 sur 5

    Enfant, Helen rêvait d'être fauconnier. Elle nourrit des années durant son rêve par la lecture.
    Devenue adulte, elle va avoir l'occasion de le réaliser.
    De manière brutale et inattendue, son père, journaliste qui a marqué profondément sa vision du monde, s'effondre un matin dans la rue.
    Terrassée par le chagrin, passant par toutes les phases du deuil, le déni, la colère, la tristesse, Helen va entreprendre un long voyage physique et métaphysique. Elle va se procurer un rapace de huit semaines, le plus sauvage de son espèce, Mabel. Réputé impossible à apprivoiser. Elle va s'isoler du monde, de la ville, des hommes. Et emprunter un chemin étonnant.

     » Des clairières. Voilà ce qu'il me fallait. Peu à peu, mon cerveau retrouvait ses points de repère et reprenait possession d'espaces inutilisés depuis des mois. Je passais ma vie depuis si longtemps dans des bibliothèques et des salles des professeurs, à fixer des écrans d'ordinateurs, à corriger des essais et à traquer des références universitaires. Ceci était une tout autre chasse. Ici, j'étais un tout autre animal.  »

    / SEM
  • L’amie prodigieuse, tome 1 : Enfance, adolescence

    0 sur 5

    «Je ne suis pas nostalgique de notre enfance : elle était pleine de violence. C’était la vie, un point c’est tout : et nous grandissions avec l’obligation de la rendre difficile aux autres avant que les autres ne nous la rendent difficile.» Elena et Lila vivent dans un quartier pauvre de Naples à la fin des années cinquante. Bien qu’elles soient douées pour les études, ce n’est pas la voie qui leur est promise. Lila abandonne l’école pour travailler dans l’échoppe de cordonnier de son père. Elena, soutenue par son institutrice, ira au collège puis au lycée. Les chemins des deux amies se croisent et s’éloignent, avec pour toile de fond une Naples sombre, en ébullition. Formidable voyage dans l’Italie du boom économique, L’amie prodigieuse est le portrait de deux héroïnes inoubliables qu’Elena Ferrante traque avec passion et tendresse.

    / SEM
  • L’amie prodigieuse, III : Celle qui fuit et celle qui reste: Époque intermédiaire

    0 sur 5

    Après L’amie prodigieuse et Le nouveau nom, Celle qui fuit et celle qui reste est la suite de la formidable saga dans laquelle Elena Ferrante raconte cinquante ans d’histoire italienne et d’amitié entre ses deux héroïnes, Elena et Lila.

    Pour Elena, comme pour l’Italie, une période de grands bouleversements s’ouvre. Nous sommes à la fin des années soixante, les événements de 1968 s’annoncent, les mouvements féministes et protestataires s’organisent, et Elena, diplômée de l’École normale de Pise et entourée d’universitaires, est au premier rang. Même si les choix de Lila sont radicalement différents, les deux jeunes femmes sont toujours aussi proches, une relation faite d’amour et de haine, telles deux sœurs qui se ressembleraient trop. Et, une nouvelle fois, les circonstances vont les rapprocher, puis les éloigner, au cours de cette tumultueuse traversée des années soixante-dix.

    Celle qui fuit et celle qui reste n’a rien à envier à ses deux prédécesseurs. À la dimension historique et intime s’ajoute même un volet politique, puisque les dix années que couvre le roman sont cruciales pour l’Italie, un pays en transformation, en marche vers la modernité.

    / SEM
  • Petit pays

    0 sur 5

    En 1992, Gabriel, dix ans, vit au Burundi avec son père français, entrepreneur, sa mère rwandaise et sa petite sœur, Ana, dans un confortable quartier d’expatriés. Gabriel passe le plus clair de son temps avec ses copains, une joyeuse bande occupée à faire les quatre cents coups. Un quotidien paisible, une enfance douce qui vont se disloquer en même temps que ce « petit pays » d’Afrique brutalement malmené par l’Histoire. Gabriel voit avec inquiétude ses parents se séparer, puis la guerre civile se profiler, suivie du drame rwandais. Le quartier est bouleversé. Par vagues successives, la violence l’envahit, l’imprègne, et tout bascule. Gabriel se croyait un enfant, il va se découvrir métis, Tutsi, Français…
    « J’ai écrit ce roman pour faire surgir un monde oublié, pour dire nos instants joyeux, discrets comme des filles de bonnes familles: le parfum de citronnelle dans les rues, les promenades le soir le long des bougainvilliers, les siestes l’après-midi derrière les moustiquaires trouées, les conversations futiles, assis sur un casier de bières, les termites les jours d’orages… J’ai écrit ce roman pour crier à l’univers que nous avons existé, avec nos vies simples, notre train-train, notre ennui, que nous avions des bonheurs qui ne cherchaient qu’à le rester avant d’être expédiés aux quatre coins du monde et de devenir une bande d’exilés, de réfugiés, d’immigrés, de migrants. »
    Avec un rare sens du romanesque, Gaël Faye évoque les tourments et les interrogations d’un enfant pris dans une Histoire qui le fait grandir plus vite que prévu. Nourri d’un drame que l’auteur connaît bien, un premier roman d’une ampleur exceptionnelle, parcouru d’ombres et de lumière, de tragique et d’humour, de personnages qui tentent de survivre à la tragédie.

    / SEM
  • Dedans dehors

    0 sur 5

    Dans ce récit intime, Sophie Bessis livre sa Tunisie, toujours sienne malgré l exil, et certains souvenirs de camaraderie engagée chers à son coeur. Car en dépit de sa carrière d universitaire et de journaliste renommée à Paris, toujours elle replonge « dedans » : les années 70, avec ses compagnons militants, elle a crié sa colère contre le pouvoir de Bourguiba. Certains ont été brisés par la prison, d autres devenus « Importants », ont appris la prudence, d autres encore n ont pas eu le temps de raconter et s en sont allés. Joan Baez à Carthage… Pour elle, « juive-arabe », combats politiques et attachement à la terre de sa naissance se joignent pour constituer son identité profonde, inaltérable, ferment de ses travaux actuels.

    / SEM
  • L’étudiant étranger

    0 sur 5

    Invité par une prestigieuse université de Virginie, un jeune Français découvre émerveillé la vie dorée des college boys, leurs équipes sportives, leur campus dans une vallée paradisiaque. C’est le temps d’une Amérique sage, celle d’avant l’explosion des moeurs et le fracas des années soixante. Très vite, le jeune homme comprend qu’il reste un  » étudiant étranger « . Il va franchir des lignes, transgresser des tabous, sans même s’en rendre compte : d’abord en faisant l’amour avec une jeune institutrice noire, April. Ensuite en tombant amoureux d’une héritière de Boston, Elisabeth, personnage fantasque et corrosif… Sur un ton limpide de sincérité, ce récit de formation ressuscite, avec humour et nostalgie, les jours fragiles de l’adolescence, quand  » tout était la première fois « .

    / SEM
  • Ma première femme

    0 sur 5

    Un homme revient sur son enfance – il est peut-être mon double, mon agent le plus secret, J’ai peut-être essayé, avec l’exploration d’un souvenir défiguré par les années, mais aussi régénéré par le roman, de dessiner pour la première fois le visage de ma mère à qui je dois d’aimer autant la vie.Aime et fais ce que tu veux : tel était son credo sur la fin. Et jour après jour, je puise un certain réconfort dans la pensée d’être son fils et de l’avoir si bien connue. Si bien ?… Y. Q.Prix Goncourt 1985 avec Les Noces barbares, Yann Queffélec est l’auteur aux Éditions Fayard de Boris après l’amour, Moi et toi et Les Affamés.

    / SEM