• Un sac de billes

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    Traduit en 18 langues, Un sac de billes, livre d’une exceptionnelle qualité, est un des plus grands succès de librairie de ces dernières années. Un très beau livre, émouvant et fort…Alphonse Boudard. Ce livre qui est celui de la peur, de l’angoisse, de la souffrance aurait pu être aussi le livre de la haine, mais il est, en fin de compte, un cri d’espoir et d’amour.Bernard Clavel. Parmi les témoignages sans nombre consacrés aux temps maudits, celui-là est unique, par la nature de l’expérience, l’émotion, la gaieté, la douleur enfantine. Et conté de telle manière que l’aventure saisit, entraîne, porte le lecteur de page en page et jusqu’à la dernière ligne.Joseph Kessel. Une spontanéité, un humour, une tendresse, une émotion discrète qui en font un livre pas comme les autres.La Croix.

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  • Entre ciel et Lou

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    Jo vient de perdre l’amour de sa vie, son souffle, son rire et son appétit : Lou. Il est désormais seul sur l’île de Groix, leur île, celle qu’il a choisie et qu’elle a épousée en même temps que lui. Lors de ses funérailles, entouré de ses enfants, Cyrian et Sarah, avec qui il nourrit des rapports distendus, le notaire lit le testament. Jusqu’à cette annonce fracassante : Jo l’a trahie. Stupeur ! Ce dernier comprend que Lou, mère dévouée et épouse amoureuse, n’a pas dit son dernier mot et lui lance un ultime défi. Son  » piroche  » aura deux mois pour renouer avec Cyrian et Sarah, et surtout, les rendre heureux. Mais entre une belle-fille acariâtre et jalouse, un fils sur la défensive, une petite-fille en mal de père et une fille cabossée par l’amour, Jo a du pain sur la planche… Haut les cœurs ! Chaque famille a son lot de secrets, de colères tues et de sourires entendus. Lou, Jo et leurs enfants ne dérogent pas à la règle. Mais est-il jamais trop tard pour se retrouver et rattraper le temps perdu ?
    Avec Entre ciel et Lou on rit, on pleure, on s’engueule, et surtout, on s’aime !
    Un roman aux effluves iodées à dévorer emmitouflés face à la mer.

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  • Sous le compost

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     » Si ma femme n’avait pas commencé à me tromper, je n’aurais probablement jamais versé dans l’extra-conjugalité.  »

    Gisèle est vétérinaire de campagne, Franck s’est voulu écrivain. Il est désormais père au foyer. Pas de méprise, ce statut est une source intarissable de joie. Car en plus de lui assurer un temps précieux auprès de ses filles, il le dispense de côtoyer ses semblables.

    Hormis la fréquentation de quelques soiffards, cyclistes tout-terrain ou misanthropes à mi-temps comme lui, Franck Van Penitas peut se targuer de mener une existence conforme à son tempérament : ritualisée et quasi solitaire. Son potager en est la preuve, où aucun nuisible susceptible d’entraver ce rêve d’autarcie ne survit bien longtemps. Franck traque la météo et transperce à coups de bêche les bestioles aventureuses.

    Jusqu’à ce jour où une lettre anonyme lui parvient, révélant l’infidélité de sa femme.

    Face à un événement aussi cataclysmique que banal, n’est pas Van Penitas qui veut. Accablement ? Coup de sang ? Répartition des blâmes ? Très peu pour lui. Franck a beau être un garçon régulier, il n’en est pas moins tout à fait surprenant et modifier son bel équilibre n’entre guère dans ses vues. Son immersion en territoire adultérin, le temps d’un été, prendra l’allure d’un étrange et drolatique roman noir conjugal.

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  • M pour Mabel

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    Enfant, Helen rêvait d'être fauconnier. Elle nourrit des années durant son rêve par la lecture.
    Devenue adulte, elle va avoir l'occasion de le réaliser.
    De manière brutale et inattendue, son père, journaliste qui a marqué profondément sa vision du monde, s'effondre un matin dans la rue.
    Terrassée par le chagrin, passant par toutes les phases du deuil, le déni, la colère, la tristesse, Helen va entreprendre un long voyage physique et métaphysique. Elle va se procurer un rapace de huit semaines, le plus sauvage de son espèce, Mabel. Réputé impossible à apprivoiser. Elle va s'isoler du monde, de la ville, des hommes. Et emprunter un chemin étonnant.

     » Des clairières. Voilà ce qu'il me fallait. Peu à peu, mon cerveau retrouvait ses points de repère et reprenait possession d'espaces inutilisés depuis des mois. Je passais ma vie depuis si longtemps dans des bibliothèques et des salles des professeurs, à fixer des écrans d'ordinateurs, à corriger des essais et à traquer des références universitaires. Ceci était une tout autre chasse. Ici, j'étais un tout autre animal.  »

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  • Nora ou le paradis perdu

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    Cuba, 1956. Nora et Alicia, deux cousines complices, vivent une enfance heureuse et insouciante. Mais la révolution éclate, et Fidel Castro prend le pouvoir. Un climat de peur, accentué par la répression, s’installe peu à peu sur l’île, poussant les parents de Nora à émigrer aux États-Unis. Grâce aux lettres que les deux cousines ne cessent d’échanger, elles restent proches. Mais Nora comprend bien vite que la vie d’Alicia est devenue un enfer. Nora décide alors de retourner à la Havane pour lui venir en aide. Mais ce qu’elle va découvrir à Cuba est pire encore que ce qu’elle avait bien pu imaginer…
    Cecilia Samartin signe ici son roman le plus personnel, une histoire d’amitié et d’amour, une ode à cette île qui restera à jamais le paradis perdu de son enfance.

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  • La fille du roi araignée

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    À dix-sept ans, Abike Johnson, la fille d’un richissime magnat de Lagos, a l’habitude de se laisser porter par l’immense Mercedes de son père dans les rues de la ville. Un jour, alors que la voiture est assaillie par des vendeurs à la sauvette, le regard d’Abike croise celui d’un colporteur : jeune, beau, élégant sous ses haillons, il détonne dans la foule.
    Lui vit dans un quartier mal famé. Tous les jours, il parcourt des kilomètres en vendant des glaces pour subvenir aux besoins de sa soeur et de sa mère. Abike découvre un univers inconnu qui la fascine et invite le jeune homme dans son monde. Le coup de foudre initial se transforme bientôt en un jeu de séduction mortel, entre amour et haine, tandis que des secrets de famille les obligent à choisir leur camp.

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  • Les Derniers Jours de Rabbit Hayes

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    Neuf jours. C'est ce qu'il reste à vivre à Mia Hayes, surnommée affectueusement  » Rabbit « . Neuf jours, après plusieurs mois de combat – parce que Rabbit est une battante, une Irlandaise bien trempée.
    À son chevet, famille et proches se relaient en un joyeux ballet de souvenirs. Entre silences, gaffes et fous rires, toute la vie de Rabbit ressurgit alors : l'enfance, l'adolescence, Johnny son grand amour, et Juliet, sa fille de 12 ans – une certaine idée du bonheur… Au fil des jours, tous s'interrogent sur leur vie et accompagnent Rabbit dans un voyage émotionnel d'une grande intensité. Quel meilleur bagage pour partir vers la lumière ?

     » Ce roman poignant vous fera vibrer, pleurer, mais vous donnera une p… d'envie de vivre.  »
    Femme actuelle

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  • Le corps de ma mère

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    La narratrice tunisienne raconte sa mère. Comme le lui dit l'une de ses amies, il t'aura fallu une révolution (des jasmins) pour oser parler de tes rapports avec elle. Le sujet n'est pas tabou mais dévoiler, au sens figuré comme au sens propre, la personnalité maternelle n'est pas une affaire facile. D'autant que le silence familial a toujours été la règle. Raconter l'intime c'est mettre un sens à tout ce qui a été, est et sera. C'est essentiel aussi pour comprendre ce que sont et seront les bouleversements politiques et sociologiques. Fawzia Zouari raconte avec pudeur et authenticité la vie des femmes bédouines tunisiennes, la révolte de l'héroïne qui a dû parcourir un si long chemin pour se libérer sans la renier d'une tradition ancestrale à l'égard du rôle des femmes. La vivacité de l'écriture, la drôlerie de certaines situations, l'inspiration parfois lyrique fait songer aux écrits de Taos Amrouche.

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  • L’amie prodigieuse, tome 1 : Enfance, adolescence

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    «Je ne suis pas nostalgique de notre enfance : elle était pleine de violence. C’était la vie, un point c’est tout : et nous grandissions avec l’obligation de la rendre difficile aux autres avant que les autres ne nous la rendent difficile.» Elena et Lila vivent dans un quartier pauvre de Naples à la fin des années cinquante. Bien qu’elles soient douées pour les études, ce n’est pas la voie qui leur est promise. Lila abandonne l’école pour travailler dans l’échoppe de cordonnier de son père. Elena, soutenue par son institutrice, ira au collège puis au lycée. Les chemins des deux amies se croisent et s’éloignent, avec pour toile de fond une Naples sombre, en ébullition. Formidable voyage dans l’Italie du boom économique, L’amie prodigieuse est le portrait de deux héroïnes inoubliables qu’Elena Ferrante traque avec passion et tendresse.

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  • L’amie prodigieuse, tome 2 : Le nouveau nom

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    «Si rien ne pouvait nous sauver, ni l’argent, ni le corps d’un homme, ni même les études, autant tout détruire immédiatement.» Le soir de son mariage, Lila, seize ans, comprend que son mari Stefano l’a trahie en s’associant aux frères Solara, les camorristes qu’elle déteste. De son côté, Elena, la narratrice, poursuit ses études au lycée. Quand l’été arrive, les deux amies partent pour Ischia. L’air de la mer doit aider Lila à prendre des forces afin de donner un fils à Stefano. L’amie prodigieuse, Le nouveau nom et Celle qui fuit et celle qui reste sont les trois premiers tomes de la saga d’Elena Ferrante.

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  • L’amie prodigieuse, III : Celle qui fuit et celle qui reste: Époque intermédiaire

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    Après L’amie prodigieuse et Le nouveau nom, Celle qui fuit et celle qui reste est la suite de la formidable saga dans laquelle Elena Ferrante raconte cinquante ans d’histoire italienne et d’amitié entre ses deux héroïnes, Elena et Lila.

    Pour Elena, comme pour l’Italie, une période de grands bouleversements s’ouvre. Nous sommes à la fin des années soixante, les événements de 1968 s’annoncent, les mouvements féministes et protestataires s’organisent, et Elena, diplômée de l’École normale de Pise et entourée d’universitaires, est au premier rang. Même si les choix de Lila sont radicalement différents, les deux jeunes femmes sont toujours aussi proches, une relation faite d’amour et de haine, telles deux sœurs qui se ressembleraient trop. Et, une nouvelle fois, les circonstances vont les rapprocher, puis les éloigner, au cours de cette tumultueuse traversée des années soixante-dix.

    Celle qui fuit et celle qui reste n’a rien à envier à ses deux prédécesseurs. À la dimension historique et intime s’ajoute même un volet politique, puisque les dix années que couvre le roman sont cruciales pour l’Italie, un pays en transformation, en marche vers la modernité.

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  • Danser au bord de l’abîme

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    Emma, quarante ans, mariée, trois enfants, heureuse, croise le regard d'un homme dans une brasserie.

    Aussitôt, elle sait.

    Après On ne voyait que le bonheur, Grégoire Delacourt explore dans ce roman virtuose la puissance du désir et la fragilité de nos existences.

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