• Aphrodite et vieilles dentelles

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    Les deux soeurs Tilda et Elida Svensson, 79 et 72 ans, célibataires, mènent une vie à la routine paisible. Elles font des confitures, vont à l’église et sont les déesses de la broderie. Pas de commodités à l’intérieur de leur maisonnette vétuste : les toilettes sont au fond du jardin, l’eau est à tirer au puits. Tout change à l’arrivée d’un nouveau voisin, Alvar Klemens, ou plutôt de son chat : le félin est pris de frénésie sexuelle en mangeant une des plantes d’Alvar, que celui-ci entretient avec un engrais inconnu.
    Et si elles tenaient avec ce mystérieux produit l’occasion de s’offrir enfin les W.C. à l’intérieur ? La révolution est décidée : les deux dames montent un business clandestin de Viagra sur Internet…

    Karin Brunk Holmqvist, née en 1944, est l’une des auteurs les plus populaires de Suède. Personnalité atypique, elle a exercé de nombreuses professions, d’assistante sociale à femme politique ou mannequin pour bikinis. Elle a publié dix romans, vendus à plus de 1 million d’exemplaires et traduits dans 5 langues. On la découvre en France pour la première fois avec ce titre.

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  • Toutes ces choses qu’on ne s’est pas dites

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    Un père, sa fille.
    Tout les sépare, tout les rapproche.

    Quelques jours avant son mariage, Julia reçoit un appel téléphonique du secrétaire particulier de son père : comme elle l’avait pressenti, Anthony Walsh, homme d’affaires brillant, mais père distant, ne pourra pas assister à la cérémonie. Mais pour une fois, Julia doit reconnaître qu’il a une excuse irréprochable : il est mort.
    Le lendemain de l’enterrement, Julia découvre que son père lui réserve une autre surprise. Le voyage le plus extraordinaire de sa vie… et peut-être l’occasion de se dire, enfin, toutes les choses qu’ils ne se sont pas dites.

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  • La première chose qu’on regarde

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    Le 15 septembre 2010, Arthur Dreyfuss, en marcel et caleçon Schtroumpfs, regarde un épisode des Soprano quand on frappe à sa porte. Face à lui : Scarlett Johansson. Il a vingt ans, il est garagiste. Elle en a vingt-six, et elle a quelque chose de cassé.

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  • Dedans dehors

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    Dans ce récit intime, Sophie Bessis livre sa Tunisie, toujours sienne malgré l exil, et certains souvenirs de camaraderie engagée chers à son coeur. Car en dépit de sa carrière d universitaire et de journaliste renommée à Paris, toujours elle replonge « dedans » : les années 70, avec ses compagnons militants, elle a crié sa colère contre le pouvoir de Bourguiba. Certains ont été brisés par la prison, d autres devenus « Importants », ont appris la prudence, d autres encore n ont pas eu le temps de raconter et s en sont allés. Joan Baez à Carthage… Pour elle, « juive-arabe », combats politiques et attachement à la terre de sa naissance se joignent pour constituer son identité profonde, inaltérable, ferment de ses travaux actuels.

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  • Debout

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    Victor découvre, un jour, au cimetière, un petit garçon caché au fond d’un trou. Il a dix ans, il est battu par sa mère et il veut mourir. Victor le convainc de sortir et le baptise Debout. Plus tard, il l’emmène au cimetière des Gitans où, par une porte, on accède à un lieu où l’on peut rencontrer d’autres mères. Debout fera ce long voyage, seul. Des mères, il en verra de toutes sortes: Reine Verticale, Mère Jardin, Mère Araignée, Mère Porte, Mère Bijoux… Mais pourra-t-il en choisir une? A partir de 9 ans.

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  • Un soir au club

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    L'histoire est classique du buveur désintoxiqué qui, après des années d'absolue sobriété, s'autorise soudain un petit verre. Juste un petit verre. Et replonge. A fond. Mais l'on ne se soûle pas que d'alcool. Parfois on ne retombe que pour mieux ressusciter. Retourner à son vice, à son démon – à son art – ouvre de somptueux vertiges, interdits aux repentis. Voyez Simon Nardis, le nouveau personnage de Christian Gailly. Il a suffi d'un soir au club, un petit club de province, pour qu'il se remette à la vodka… et au jazz. Dix ans plus tôt, pianiste renommé, il avait abandonné pour  » raisons de santé « . Il était devenu bon mari, bon père, bon
    spécialiste du chauffage industriel, n'écoutant plus que de la musique classique :  » A défaut de swing il se gavait de beauté.  » Ayant une heure à tuer avant de rentrer chez lui par le train, il accompagne dans le club un ingénieur dont il vient de dépanner l'usine. Et, d'entrée, il est secoué. Dans l'excellente façon de jouer des trois jeunes musiciens américains, il reconnaît… son style. Un  » style qui avait pas mal chamboulé la pratique du piano en jazz « . Pendant la pause du trio il se met au clavier. La patronne du club le  » reconnaît  » à son jeu. Bientôt elle le rejoint sur l'estrade, se penche vers lui, reprend la mélodie au vol. Et c'est le bonheur qui revient. Fulgurant. La nuit qui suit et le lendemain, entre cet homme  » près de la retraite  » et
    cette femme  » qui avait bien l'âge qu'elle ne faisait pas  » va s'amplifier et se concrétiser ce bonheur. Jusqu'à se vouloir éternel. Et la femme de Simon dans tout ça ? Elle arrive. En voiture. N'en disons surtout pas plus. Il serait criminel de dévoiler ne serait-ce qu'un soupçon de la suite de l'intrigue, elle-même criminelle. A sa façon. (Jean-Pierre Tison, Lire)

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  • La servante

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    À l'orée du XXe siècle, dans un rude village de montagne, Quiterie, cadette d'une famille de métayers pauvres, connaît l'enfance des oubliés du progrès : la faim, le froid, le dur labeur au quotidien… Sa vie bascule le jour où Mme Cosnac de Pradines l'embauche comme servante. Elle n'a que treize ans. L'auteur : Né en 1959 dans une famille originaire de Xaintrie, Louis-Olivier Vitté vit en Corrèze depuis vingt ans. Très attaché à ses racines, il fait découvrir sa région et ses habitants sur les ondes de France Bleu, où il est animateur depuis 1984. Il a écrit La Servante pour sauver de l'oubli la maison qui a appartenu à sa famille pendant de nombreuses générations

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  • La perle et la coquille

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    Kaboul, 2007. Depuis qu'il a été enrôlé dans les forces talibanes, le père de Rahima n'est plus que l'ombre de lui-même. Sans lui, sa mère et ses soeurs n'ont pas le droit de quitter la maison.
    Leur seul espoir réside dans la tradition des bacha posh, qui autorise sous certaines conditions, à travestir une fille jusqu'à ce qu'elle soit en âge de se marier. Rahima devient alors Rahim, et découvre une liberté qui va faire naître en elle un désir d'émancipation aussi fort que celui qu'éprouva son aïeule, Shekiba, un siècle plus tôt. Les destinées de ces deux femmes se font écho, et permettent une exploration captivante de la condition féminine en Afghanistan.

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  • Les sortilèges de la passion

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    1912, Angleterre. Chrissie a quinze ans quand l’arrivée de la famille Dunstan à Beaurivage, la propriété voisine, bouleverse son existence paisible. Richissime industriel, habité d’incroyables rêves de grandeur, Alfred Dunstan règne en tyran sur sa femme, Letty, et sur ses filles, Ida et Beatrice. Seul le ténébreux Jack, son fils, tente de lui tenir tête. Jack… auprès de qui Chrissie connaît ses premiers émois amoureux.
    Lorsque Alfred décide d’emmener les siens à Venise, Chrissie et son père sont aussi du voyage. C’est alors que l’impensable se produit : Letty, la femme effacée, l’épouse modèle, tombe amoureuse d’un homme bien plus jeune qu’elle ! Un scandale qui entraîne une série de drames et de trahisons; une première fissure dans l’empire Dunstan, dont la déchéance est bientôt précipitée par la guerre, menaçant de détruire aussi la vie de Jack et de Chrissie.
    À travers l’éducation sentimentale d’une jeune Anglaise, Alison McLeay évoque avec beaucoup d’élégance et une grande délicatesse la confusion et la peur qu’accompagne la découverte de l’amour. Elle parvient aussi à recréer une époque : celle de l’insouciance d’un âge d’or irrémédiablement détruite par le conflit.

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  • L’auberge des pauvres

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    « Suivez-moi, nous quittons la terre rouge de Marrakech pour nous poser un jour de pluie sur le bord de la Méditerranée, oui j’ai osé tout quitter, j’ai fait le saut, je ne suis plus l’homme figé par la peur, à présent je suis ailleurs : je vous dirai Naples et ses bas-fonds, la gare de Naples un jour de vent et d’averse, une gare aussi immense et sale que toute la ville, une place des miracles avec des couleurs changeantes, des odeurs venues du lointain, des épices d’Afrique mélangées à la sueur des hommes qui ne savent pas où se poser, où se faire oublier, je vous dirai le bruit transporté par le vent, les cris des enfants de Gitans courant derrière des Anglaises apeurées, je vous dirai la Vieille, une peau toute ridée, enflée et bourrée de bonté, un personnage de roman tel que je l’ai toujours rêvé, une grande dame, sale et fardée, une mémoire qui a du mal à se taire, c’est à cause de l’asthme, à cause des illusions de la vie, je vous dirai Momo, le Sénégalais clandestin, colosse au petit cerveau, vendeur de bricoles sur les trottoirs, je vous dirai l’histoire d’Idé et Gino, Iza et moi, oui, moi aussi je me suis perdu dans les histoires des autres. »

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  • Sayf al-Nûr : L’épée de la Lumière

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    Voici un récit saisissant dont la lecture ne laisse pas indifférent. D’une écriture poignante et délicate, l’auteure nous livre un témoignage inédit dont « l’expérience de mort imminente » a été le prélude. Lors d’un choc anesthésique en bloc opératoire, Rajâa reçoit une initiation fulgurante par la science ésotérique des lettres, au cours de laquelle ses repères et ses certitudes sont pulvérisés. Effroi, quiétude. Eclatement, ravissement. Solitude, miséricorde. Brûlure, contemplation. Avec une pudeur touchante, l’auteure nous fait vivre ces allers-retours qui la mènent vers le Beau (al-Jamîl). Succombant à la Splendeur, elle devient une amoureuse éperdue et tend ainsi à découvrir son être essentiel. À l’image d’Ibn Arabî, qui, il y a quelques siècles, écrivait : « L’Amour est ma religion et ma foi », l’auteure peut aujourd’hui humblement déclarer : « L’Amour est mon Maître. »

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  • Daisy sisters

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    Été 1941, en Suède. Deux amies, Elna et Vivi, dix-sept ans, de condition modeste, s’offrent une escapade à bicyclette à travers la Suède en longeant la frontière de la Norvège occupée par les nazis. L’aventure, d’abord idyllique ¿ l’été de toutes les joies, de tous les espoirs ¿, est de courte durée : Elna, violée, revient chez elle enceinte d’une petite fille qu’elle appellera Eivor.

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