• Vernon Subutex (Tome 1)

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    Qui est Vernon Subutex ?
    Une légende urbaine.
    Un ange déchu.
    Un disparu qui ne cesse de ressurgir.
    Le détenteur d'un secret.
    Le dernier témoin d'un monde révolu.
    L'ultime visage de notre comédie inhumaine.
    Notre fantôme à tous.

    Magistral et fulgurant. Une œuvre d'art. François Busnel, L'Express.

    Dans cette peinture d'une France qui dégringole dans la haine et la précarité, Virginie Despentes touche au sommet de son art. Alexis Brocas, Le Magazine littéraire.

    Une comédie humaine d'aujourd'hui dont Balzac pourrait bien se délecter. Pierre Vavasseur, Le Parisien.

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  • Vernon Subutex (Tome 2)

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    On retrouve Vernon, toujours SDF, et mal en point. L’ancien disquaire est déconnecté du monde réel, sans ambition ni projets. Il apprend à vivre dans la rue, au côté de Charles, un poivrot collant. Les anciens amis de Vernon continue de le traquer comme il possède l’interview inédite du rockeur Alex Bleach, enregistrée peu avant sa mort…
    Une formidable suite après un premier tome salué par une presse unanime et plusieurs fois primé.

    Un livre de combat porté tout à la fois par une capacité d’indignation inentamée et une empathie époustouflante – et tout sauf aimable. Nathalie Crom, Télérama.

    Virginie Despentes dévoile sans complaisance notre temps en nous offrant un antidote possible. Un véritable écrivain – libre, unique, corrosive. Nelly Kaprièlian, Les Inrockuptibles.

    On peut faire tourner Vernon Subutex entre ses doigts comme une pierre précieuse changeant de couleur à la lumière du jour. Marie-Laure Delorme, Le Journal du dimanche.

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  • Une brève histoire de l’avenir

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    Jacques Attali raconte ici l’incroyable histoire des cinquante prochaines années telle qu’on peut l’imaginer à partir de tout ce que l’on sait de l’histoire et de la science. Il dévoile la façon dont évolueront les rapports entre les nations et comment les bouleversements démographiques, les mouvements de population, les mutations du travail, les nouvelles formes du marché, le terrorisme, la violence, les changements climatiques, l’emprise croissante du religieux viendront chahuter notre quotidien.
    Il révèle aussi comment des progrès techniques stupéfiants bouleverseront le travail, le loisir, l’éducation, la santé, les cultures et les systèmes politiques ; comment des moeurs aujourd’hui considérées comme scandaleuses seront un jour admises.
    Il montre enfin qu’il serait possible d’aller vers l’abondance, d’éliminer la pauvreté, de faire profiter chacun équitablement des bienfaits de la technologie et de l’imagination marchande, de préserver la liberté de ses propres excès comme de ses ennemis, de laisser aux générations à venir un environnement mieux protégé, de faire naître, à partir de toutes les sagesses du monde, de nouvelles façons de vivre et de créer ensemble.

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  • Pas Ce Soir, Je Dine Avec Mon Père

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    Mon père a décidé que son combat d’une vie serait de ne pas mourir. De ne pas mourir, donc de ne pas vieillir. D’arrêter le temps ? Au début, je croyais qu’il était le seul atteint. Et puis je me suis aperçue que la génération suivante était pire. Voilà le problème. Les gens ne veulent plus mourir. Alors ils volent la vie de leurs enfants. Ce sont des ogres.  » M. R. Comment une jeune femme peut-elle grandir quand son père refuse de le faire ? A la fois drôle et pudique, tendre et cruel, ce premier roman sur la confusion des âges nous concerne tous.

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  • Congo Inc : Le testament de Bismarck

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    Depuis qu’il a découvert l’Internet et la mondialisation, le jeune Isookanga, Pygmée ekonda, n’a plus qu’un objectif : planter là les cases, les traditions, les ancêtres et la forêt millénaire pour aller faire du business à Kinshasa. Il débarque donc un matin dans la capitale, trouve l’hospitalité auprès des enfants des rues et s’associe avec un Chinois qui fait commerce de sachets d’eau potable. L’avenir est à lui Pendant ce temps, à Kinshasa et ailleurs, le monde tourne moyennement rond : des seigneurs de guerre désoeuvrés aux pasteurs vénaux, des conseils d’administration des multinationales aux allées du Grand Marché, les hommes ne cessent d’offrir des preuves de leur concupiscence, de leur violence, de leur bêtise et de leur cynisme. Qui sauvera le Congo, spolié par l’extérieur, pourri de l’intérieur ? L’innocence et les rêves, les projets et la solidarité. La littérature, bien sûr, quand elle est comme ici servie par un humour caustique, une lucidité implacable et une détermination sans faille.

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  • Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur

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    Dans une petite ville d’Alabama, au moment de la Grande Dépression, Atticus Finch élève seul ses deux enfants, Jem et Scout. Homme intègre et rigoureux, cet avocat est commis d’office pour défendre un Noir accusé d’avoir violé une Blanche. Ce bref résumé peut expliquer pourquoi ce livre, publié en 1960 – au cœur de la lutte pour les droits civiques -, connut un tel succès. Il ne suffit pas en revanche à comprendre comment ce roman est devenu un livre culte aux Etats-Unis et dans bien d’autres pays. C’est que, tout en situant son sujet en Alabama à une époque bien précise – les années 1930 -, Harper Lee a écrit un roman universel sur l’enfance confrontée aux préjugés, au mensonge, à la bigoterie et au mal. Racontée par Scout avec beaucoup de drôlerie, cette histoire tient du conte, de la court story américaine et du roman initiatique. Couronné par le Prix Pulitzer en 1961, Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur s’est vendu à plus de 30 millions d’exemplaires dans le monde entier. Ce livre est magique. D’une tendresse, d’un humour, d’une mélancolie sans pareils. Frédéric Vitoux, Nouvel Observateur. Un phénomène comparable à L’Attrape-Cœurs de Salinger, et donc l’un des plus beaux livres jamais écrits. Femina

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  • Mythologies – collection points n°10

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    Notre vie quotidienne se nourrit de mythes : le catch, le strip-tease, l’auto, la publicité, le tourisme… qui bientôt nous débordent. Isolés de l’actualité qui les fait naître, l’abus idéologique qu’ils recèlent apparaît soudain. Roland Barthes en rend compte ici avec le souci – formulé dans l’essai sur le mythe aujourd’hui qui clôt l’ouvrage – de réconcilier le réel et les hommes, la description et l’explication, l’objet et le savoir. »Nous voguons sans cesse entre l’objet et sa démystification, impuissants à rendre sa totalité : car si nous pénétrons l’objet, nous le libérons mais nous le détruisons ; et si nous lui laissons son poids, nous le respectons, mais nous le restituons encore mystifié. »

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