• Vernon Subutex (Tome 1)

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    Qui est Vernon Subutex ?
    Une légende urbaine.
    Un ange déchu.
    Un disparu qui ne cesse de ressurgir.
    Le détenteur d'un secret.
    Le dernier témoin d'un monde révolu.
    L'ultime visage de notre comédie inhumaine.
    Notre fantôme à tous.

    Magistral et fulgurant. Une œuvre d'art. François Busnel, L'Express.

    Dans cette peinture d'une France qui dégringole dans la haine et la précarité, Virginie Despentes touche au sommet de son art. Alexis Brocas, Le Magazine littéraire.

    Une comédie humaine d'aujourd'hui dont Balzac pourrait bien se délecter. Pierre Vavasseur, Le Parisien.

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  • Vernon Subutex (Tome 2)

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    On retrouve Vernon, toujours SDF, et mal en point. L’ancien disquaire est déconnecté du monde réel, sans ambition ni projets. Il apprend à vivre dans la rue, au côté de Charles, un poivrot collant. Les anciens amis de Vernon continue de le traquer comme il possède l’interview inédite du rockeur Alex Bleach, enregistrée peu avant sa mort…
    Une formidable suite après un premier tome salué par une presse unanime et plusieurs fois primé.

    Un livre de combat porté tout à la fois par une capacité d’indignation inentamée et une empathie époustouflante – et tout sauf aimable. Nathalie Crom, Télérama.

    Virginie Despentes dévoile sans complaisance notre temps en nous offrant un antidote possible. Un véritable écrivain – libre, unique, corrosive. Nelly Kaprièlian, Les Inrockuptibles.

    On peut faire tourner Vernon Subutex entre ses doigts comme une pierre précieuse changeant de couleur à la lumière du jour. Marie-Laure Delorme, Le Journal du dimanche.

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  • Deux femmes pour un Orient

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     » Un jour, qui sait ? Tu raconteras mon histoire. Car, n’oublie pas princesse, cette histoire est aussi la tienne. Promis ? – Promis, Mamita. Mais qui y croira ? Les gens penseront que c’est un roman… – Un roman… Ma chérie, tous les romans ont une fin. Dans la réalité, tout recommence.  » Istanbul, 1896. C’est là, sous le règne du  » sultan rouge « , Abdul Hamid, que débute l’histoire vraie de Carla Astoria, ma grand-mère. De la magnificence du palais de Dolmabatché à la douceur des rives du Bosphore, elle va grandir à l’ombre des harems, entre
    pachas et diplomates, insouciance et beauté. 1915. L’Empire ottoman se brise et l’existence de Carla bascule.
    Une nouvelle vie commence pour elle. Une vie empreinte de passions, de déchirements, une vie de démesure qui la conduira à tout sacrifier pour le grand amour de sa vie.

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  • L’amour est un acte d’héroïsme ordinaire

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    Deux destins d’hommes entrecroisés, deux histoires d’amour contrarié, un même espoir…

    1917. Moritz Daniecki a survécu à la Grande Guerre et est parvenu à s’évader du camp dans lequel il était retenu prisonnier. Mais à quel prix ? Livré à lui-même au coeur des paysages menaçants de la Sibérie, il est déterminé à retrouver sa bien-aimée Lotte, dont le souvenir l’a soutenu tout au long des épreuves traversées. Entre elle et lui se dresse maintenant un long voyage à travers les steppes russes. Mais même si Moritz parvient au bout de son rêve, peut-il escompter que sa promise l’attende encore ?

    1992. Leo Deakin se réveille dans un lit d’hôpital, quelque part en Amérique du Sud. Sa petite amie, Eleni, n’a pas eu sa chance : elle n’a pas survécu à l’accident du car qui les conduisait au pied du sommet qu’ils rêvaient d’escalader. Rongé par la culpabilité, Léo se laisse sombrer dans le désespoir.
    Mais ce dont il ne se doute pas encore, c’est qu’une révélation familiale va changer le cours de sa vie à tout jamais…

    Deux histoires d’amour. Deux histoires de perte. Quel fil peut bien relier ces deux hommes à travers le temps ?

    Danny Scheinmann est écrivain, acteur et scénariste. Il vit à Londres avec sa femme et ses trois enfants

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  • Le Goût des pépins de pomme

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    À la mort de Bertha, ses trois filles et sa petite-fille, Iris, la narratrice, se retrouvent dans leur maison de famille, à Bootshaven, dans le nord de l’Allemagne, pour la lecture du testament. À sa grande surprise, Iris hérite de la maison. Bibliothécaire à Fribourg, elle n’envisage pas, dans un premier temps, de la conserver. Mais, à mesure qu’elle redécouvre chaque pièce, chaque parcelle du merveilleux jardin, ses souvenirs font resurgir l’histoire émouvante et tragique de trois générations de femmes. Un grand roman sur le souvenir et l’oubli.

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  • Novembe

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    Dans la grisaille de l’existence qu’ils vivent en banlieue, les membres de la famille Le Cloanec se côtoient, mais ne se parlent guère. La mère est alcoolique, le père, indifférent et lointain ; le frère et la sœur ont chacun leurs occupations précises et leur vie à part. Une bonne récemment engagée va jeter le trouble dans la maison. Devenue la maîtresse du jeune Olivier, qui en est très épris, Manuela éveille les désirs du père Le Cloanec auquel elle accordera également ses faveurs.

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  • D’amour et d’amitié

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    Une poignante histoire d’amour et d’amitié, celle de deux hommes et d’une femme: Andréas, champion automobile; Daniel, chroniqueur gastronomique de réputation internationale; Alexandra, peintre célèbre et de grand talent.
    Hilary Norman fait en littérature une entrée remarquée avec ce superbe roman qui s’étend sur plus d’un demi-siècle, menant ses lecteurs des faubourgs de Naples jusqu’à une Allemagne en proie aux horreurs de la guerre, puis, la paix revenue, à New York et à travers l’Europe, tant dans les milieux artistiques que dans ceux de la compétition automobile et des grands restaurants.

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  • Le Joueur d’échecs

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    Qui est cet inconnu capable d’en remontrer au grand Czentovic, le champion mondial des échecs, véritable prodige aussi fruste qu’antipathique ? Peut-on croire, comme il l’affirme, qu’il n’a pas joué depuis plus de vingt ans ? Voilà un mystère que les passagers oisifs de ce paquebot de luxe aimeraient bien percer.
    Le narrateur y parviendra. Les circonstances dans lesquelles l’inconnu a acquis cette science sont terribles. Elles nous reportent aux expérimentations nazies sur les effets de l’isolement absolu, lorsque, aux frontières de la folie, entre deux interrogatoires, le cerveau humain parvient à déployer ses facultés les plus étranges.
    Une fable inquiétante, fantastique, qui, comme le dit le personnage avec une ironie douloureuse, « pourrait servir d’illustration à la charmante époque où nous vivons ».

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  • La bibliothèque des coeurs cabossés

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    Tout commence par un échange de lettres sur la littérature et la vie entre deux femmes que tout oppose : Sara Lindqvist, jeune Suédoise de vingt-huit ans, petit rat de bibliothèque mal dans sa peau, et Amy Harris, vieille dame cultivée de Broken Wheel, dans l’Iowa. Lorsque Sara perd son travail de libraire, son amie l’invite à venir passer des vacances chez elle. A son arrivée, une malheureuse surprise l’attend : Amy est décédée. Seule et déboussolée, Sara choisit pourtant de poursuivre son séjour à Broken Wheel et de redonner un souffle à cette communauté attachante et un brin loufoque… grâce aux livres, bien sûr.

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  • Le pharaon

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    Egyptologue, il aimait à penser qu’il avait construit sa vie comme une pyramide. Professeur, archéologue estimé de ses pairs, fidèle à sa femme et à ses amis, père aimant, il croyait avoir définitivement organisé sa vie selon des rites immuables

    . Que lui est-il arrivé pour qu’il abandonne brusquement l’Egypte, dont il savait tout, pour se lancer dans la reconstitution du petit royaume de Gourara, en Afrique du Sud, dont il ignorait tout ? Que lui est-il arrivé pour qu’au soir de sa vie il tombe amoureux d’une jeune femme qui pourrait être sa fille, et qui lui rend son amour d’une manière quasi incestueuse ?

    Lui qui a toujours regardé les êtres et les événements avec un détachement ironique se jette dans la bataille politique, dans celte Tunisie de 1950, en pleines convulsions coloniales, où le terrorisme et l’antiterrorisme sont quotidiens.

    Le Pharaon est le roman le plus passionnant d’Albert Memmi. Le plaisir de conter, le goût du picaresque, l’entrecroisement des destins individuels ou collectifs – par l’intervention de personnages historiques réels, tels Habib Bourguiba ou Pierre Mendès France contribuent à cette réussite.

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  • Le dimanche des mères

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    Angleterre, 30 mars 1924. Comme chaque année, les aristocrates donnent congé à leurs domestiques pour qu’ils aillent rendre visite à leur mère le temps d’un dimanche. Jane, la jeune femme de chambre des Niven, est orpheline et se trouve donc désoeuvrée. Va-t-elle passer la journée à lire ? Va-t-elle parcourir la campagne à bicyclette en cette magnifique journée ? Jusqu’à ce que Paul Sheringham, un jeune homme de bonne famille et son amant de longue date, lui propose de le retrouver dans sa demeure désertée. Tous deux goûtent pour la dernière fois à leurs rendez-vous secrets, car Paul doit épouser la riche héritière Emma Hobday. Pour la première – et dernière – fois, Jane découvre la chambre de son amant ainsi que le reste de la maison. Elle la parcourt, nue, tandis que Paul part rejoindre sa fiancée. Ce dimanche des mères 1924 changera à jamais le cours de sa vie. Graham Swift dépeint avec sensualité et subtilité une aristocratie déclinante, qui porte les stigmates de la Première Guerre – les fils ont disparu, les voitures ont remplacé les chevaux, la domesticité s’est réduite… Il parvient à insuffler à ce court roman une rare intensité, et célèbre le plaisir de la lecture et l’art de l’écriture.

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  • Mes mille et une nuits

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    « Faire durer le suspense comme Shéhérazade, en évitant de me mettre à dos les soignants, c’est le mieux que je puisse espérer, si j’ai bien compris la nature de ma maladie. » Dans cet essai très personnel, Ruwen Ogien suit et questionne avec humour et perspicacité le parcours du malade, les images de la maladie, les métaphores pour la dire, pour l’oublier ou pour en faire autre chose qu’elle n’est. Ne dit-on pas souvent qu’elle serait un défi à relever, un test pour s’éprouver, une expérience qui, une fois dépassée, pourrait même nous enrichir ? Farouche adversaire d’un tel « dolorisme », Ruwen Ogien ne trouve aucune vertu à la souffrance : à ses yeux, ce qui ne tue pas ne rend pas plus fort, et la résilience n’est pas la panacée. Un livre fort, une pensée vive qui nous aide à comprendre le quotidien de la maladie, à prendre conscience qu’elle a bien des causes, mais certainement pas des raisons. Directeur de recherches au CNRS, défenseur d’une conception « minimaliste » de l’éthique, Ruwen Ogien est l’auteur de nombreux ouvrages, dont L’influence de l’odeur des croissants chauds sur la bonté humaine et autres questions de philosophie morale expérimentale (2011), Philosopher ou faire l’amour (2013), Mon dîner chez les cannibales et autres chroniques sur le monde d’aujourd’hui (2015).

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